SIÈGE – Page 2

SECURITE ALIMENTAIRE EN CÔTE D’IVOIRE : l’ANADER FAIT LE BILAN DE SES PROJETS ET PROGRAMMES

La sécurité alimentaire est un sujet crucial en Côte d’Ivoire. Depuis quelques années, notre pays fait face à des défis majeurs liés à une croissance démographique rapide, aux effets des changements climatiques et à une dépendance accrue aux importations alimentaires. Dans ce contexte, l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER) joue un rôle crucial. Depuis cinq ans, elle s’implique plus activement dans la mise en oeuvre de projets et programmes visant à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle pour les populations en Côte d’ivoire. Pour évaluer les progrès réalisés et tracer les perspectives d’avenir, un atelier stratégique se tient à Bouaké, du 20 au 23 janvier 2025. Cet atelier rassemble 79 participants, dont des Directeurs Centraux et Régionaux, des Coordonnateurs Techniques et d’autres acteurs clés. L’objectif principal est clair : faire le bilan des initiatives passées, identifier les succès, comprendre les défis et proposer des solutions concrètes pour l’avenir. Cela répond à une urgence réelle. En octobre 2024, une étude a révélé que 9 des 31 régions du pays sont « sous pression », avec des populations en insécurité alimentaire. Ces résultats rappellent que des efforts soutenus sont nécessaires pour protéger ces populations vulnérables. Depuis 2020, l’ANADER a piloté plusieurs projets innovants. Ces initiatives, comme le Plan de Soutien Économique, Social et Humanitaire, Le Programme d’Urgence du secteur Agricole (PURGA) ou encore le Projet de Développement des Chaînes de Valeurs Vivrières (PDC2V), ont permis d’augmenter la production agricole, et d’améliorer les revenus des exploitants. Ces projets ont aussi contribué à l’autonomisation économique des femmes, au renforcement des capacités des jeunes et à la prévention de crises alimentaires en Côte d’Ivoire. Malgré ces avancées, des obstacles subsistent. L’atelier de Bouaké se révèle donc pertinent pour réfléchir à ces questions. Pour cette rencontre, les différentes Directions Régionales (DR) ont préparé les bilans techniques et financiers des projets qu’elles ont conduits. Chaque DR présentera également une proposition de projet adaptée aux besoins locaux. Pendant l’atelier, ces bilans seront partagés et discutés, suivis de travaux en groupe pour approfondir les analyses et dégager des recommandations. Ces échanges permettront de créer une feuille de route solide, axée sur des interventions efficaces et durables. Ce moment de réflexion collective incarne l’engagement de l’ANADER à faire progresser la sécurité alimentaire en Côte d’Ivoire, mais également à renforcer la collaboration entre les directions régionales et les autres parties prenantes, en valorisant les compétences de chacun pour relever ensemble les défis communs. En mettant l’accent sur une approche inclusive et participative, l’ANADER montre sa volonté de s’adapter et d’innover pour un impact durable. Ce rendez-vous à Bouaké marque un tournant important. Les recommandations qui en émergeront ne se limiteront pas à influencer les stratégies de l’ANADER, mais pourront également guider les politiques nationales en matière de sécurité alimentaire. Il s’agit d’une opportunité unique pour tirer parti des expériences passées et construire un avenir plus sécurisé pour les communautés rurales. Ainsi, cet atelier représente bien plus qu’une simple évaluation : c’est une étape essentielle pour façonner un modèle agricole et nutritionnel résilient et durable en Côte d’Ivoire. DCRP & Gnoumou Daouda, PFCRP-DR Centre

L’ANADER A LA PREMIERE EDITION DES JOURNEES NATIONALES DU PRODUCTEUR DU COTON ET DE L’ANACARDE

Du 17 au 18 janvier 2025, s’est tenue la première édition des Journées Nationales du Producteur du Coton et de l’Anacarde (JNPCA) au Parc des Expositions d’Abidjan avec comme thème : « Valoriser durablement le potentiel des filières Coton et Anacarde pour des producteurs prospères. » Leader du conseil agricole et rural en Côte d’Ivoire, l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER) n’a pas voulu se faire conter cette première édition des JNPCA. Cela, d’autant plus qu’à la suite de la réforme des filières coton et anacarde en 2013, le gouvernement de Côte d’Ivoire a confié à l’ANADER depuis juillet 2014, l’encadrement technique des producteurs d’Anacarde. Cette tribune était donc une occasion pour l’ANADER de présenter son savoir-faire aux producteurs d’anacarde, aux partenaires du monde agricole et aux décideurs. En outre, fort de son expérience auprès des acteurs de cette filière, les JNPCA étaient pour l’ANADER le cadre idéal pour diffuser les résultats de ses actions sur le terrain. Ainsi, en termes d’acquis sur le période 2019-2024, l’institution revendique la formation de 229 390 producteurs sur les Bonnes Pratiques Agricoles (BPA) de la culture de l’anacardier. Grâce à ses conseils auprès des producteurs d’anacarde, le rendement moyen est passé de 300 kilogrammes (kg) par hectare (ha) à 620 kg/ha (2024), faisant passer la production nationale de noix brutes de cajou de 634 631 tonnes (t) en 2019 à 1 225 000 t en 2023. Aussi, convient-il de souligner que grâce aux formations de l’ANADER, l’Indice de qualité de la noix de cajou connu sous l’appellation KOR, est passé de 46 à 47. Les plus hautes autorités du pays n’ont pas manqué de féliciter l’ANADER et son premier manager, le Directeur Général Sidiki Cissé, pour les prouesses accomplies au bénéfice de la filière Anacarde. A la tête d’une forte délégation composée du Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani, du Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale, Me Adama Kamara, du Directeur Général du Conseil du Coton et de l’Anacarde, Mamadou Berté et de bien d’autres membres de son cabinet, le Vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné a visité le stand de l’ANADER où il a été accueilli par le DG Sidiki Cissé. Cette visite est intervenue peu après la cérémonie d’ouverture officielle des JNPCA présidée par le Vice-Président de la République. Cérémonie au cours de laquelle le numéro 2 de l’Etat de Côte d’Ivoire a informé les producteurs de Coton et d’Anacarde du soutien du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara pour l’importante contribution de ces filières au dynamisme économique du pays. Retenons que pour la campagne 2025, le prix du kg de la noix de cajou est fixé à 425 fcfa. ESMEL LATH, EQUIPE DCRP

DEUX ENTREPRISES ITALIENNES VEULENT COLLABORER AVEC L’ANADER

Erica Industria Tessile, spécialisée dans l’impression de tissus pour le prêt-à-porter haut de gamme et G-AGRO, évoluant dans la production d’engrais bio, sont deux entreprises italiennes intéressées de s’installer en Côte d’Ivoire. Dans le cadre d’une mission d’opérateurs économiques italiens conduite par S.E. Mme Nogozene BAKAYOKO, ambassadrice de Côte d’Ivoire en Italie, les responsables de ces deux entreprises ont été reçus le mercredi 15 janvier 2025, au siège de l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER) à Abidjan-Plateau, où ils ont eu une séance de travail avec la Direction Générale ainsi que les Services en charge de leur domaine d’intervention. En Côte d’Ivoire, Erica Industria Tessile ambitionne d’ouvrir une unité de traitement et d’impression de tissus en coton. Elle envisage également de travailler avec des partenaires ivoiriens spécialisés dans l’impression de pagnes africains. L’autre bonne nouvelle est que cette entreprise entend alimenter son unité industrielle en coton produit en Côte d’Ivoire et fait déjà le pari de recruter l’essentiel de son personnel localement. Quant à G-AGRO, la collaboration souhaitée avec l’ANADER devrait lui faciliter l’accès au monde paysan – aux coopératives agricoles que le leader du conseil agricole et rural encadre. L’accompagnement que propose cette entreprise aux fermiers ivoiriens devrait permettre à ceux-ci d’améliorer la qualité de leurs productions, mais également, d’accroitre leur productivité. Le Directeur Général de l’ANADER, Dr Sidiki CISSE, a salué la démarche de la délégation italienne à l’endroit de l’entreprise de service public qu’il dirige ; laquelle démarche traduit la reconnaissance, sur le plan international, du travail abattu au bénéfice du monde agricole et rural. Dr Sidiki CISSE a donné des orientations et conseils avisés à ses hôtes afin de faciliter et accélérer leur implantation sur le marché ivoirien. ESMEL LATH, EQUIPE DCRP

DES ELEVES AMERICAINS SE FONT AMBASSADEURS DU CACAO IVOIRIEN

La délégation d’enseignants et d’élèves de la Greenwich Country Day School (GCDS), une école américaine située dans le Connecticut, qui séjournait en Côte d’Ivoire depuis le samedi 4 janvier 2025, dans le cadre d’un projet pédagogique dénommé ‘’Eco-citoyenneté : l’environnement autour de l’économie du cacao, partage d’expérience culturelle autour de l’économie du cacao’’, a clôturé ses activités le mardi 14 janvier dernier autour d’une table-ronde sur le thème du projet. A l’hôtel le Wafou, à Marcory-Biétry où s’est déroulée la table-ronde qui a pris la forme d’une cérémonie de restitution des activités menées tout au long de la mission qui a conduit la délégation dans plusieurs localités du pays à la découverte de circuits touristiques, mais surtout de l’univers de l’industrie du cacao – de la plantation à l’usine de transformation des fèves en chocolat et autres produits dérivés, les jeunes apprenants américains ont promis d’être les ambassadeurs du cacao ivoirien aux Etats-Unis. En effet, ces jeunes qui ont suivi de bout en bout le processus de production du cacao made in Côte d’Ivoire, ont avoué avoir découvert une réalité complètement différente de l’idée qu’ils avaient de la production cacaoyère ivoirienne. Ces derniers ont confessé, après leur pratique du terrain, que les accusations de travail des enfants dans les plantations de cacao en Côte d’Ivoire étaient loin d’être des pratiques en vigueur dans le pays. Par contre, ils ont pu se rendre compte des activités de socialisation auxquelles ces enfants qui accompagnent leurs parents au champ s’adonnaient. La délégation a pu toucher du doigt la pénibilité du travail des paysans qu’elle a mis en rapport avec les revenus que ces derniers perçoivent de leur dur labeur. Les recommandations des participants face à ces constats se sont avérées en droite ligne avec celles sur lesquelles travaillent l’Etat ivoirien, à savoir réduire la pénibilité du travail en s’orientant davantage vers la mécanisation de l’agriculture ivoirienne ; mais aussi accroitre les revenus des producteurs par la transformation locale du cacao : ce qui va créer de la valeur ajoutée pour l’économie nationale. Ils ont préconisé de ce fait, d’exporter le cacao déjà transformé et non des fèves brutes vers les marchés occidentaux qui sont les plus gros consommateurs de chocolat. Quant à l’Agence National d’Appui au Développement Rural (ANADER) qui accompagne les producteurs agricoles, la délégation américaine a salué l’importance de son action et a souhaité qu’elle ait davantage de moyens pour un meilleur encadrement du monde rural. Les jeunes ont émis le vœu de voir arriver sur le marché ivoirien du cacao des investisseurs américains avec la conviction que ces derniers alloueront des ressources conséquentes au leader du conseil agricole et rural, l’ANADER, afin d’aider à intensifier ses interventions au bénéfice des paysans. L’intérêt de ces jeunes américains pour le cacao de Côte d’Ivoire a aiguisé également la curiosité d’autres étudiants ivoiriens pour cette matière première dont le pays est le premier producteur mondial avec près de 2 millions de tonnes l’an. Ces derniers entendent, par le biais de l’agence de voyage et tourisme (l’agence ayant facilité l’arrivée en Côte d’Ivoire de la délégation américaine) Loisirs Ivoire, promouvoir à leur tour la consommation par les Ivoiriens, du chocolat et biens d’autres produits dérivés du cacao. Notons que cette mission qui a pris fin le 14 janvier, a été fortement bénéfique à la délégation américaine, si l’on en croit la cheffe de délégation, Dr Kathia Flemens, professeure à GCDS. Elle a salué la bonne collaboration avec l’ANADER et a insisté sur l’importance de ses interventions au profit du monde rural. ESMEL LATH, EQUIPE DCRP

DES ELEVES AMERICAINS INSTRUITS SUR LA CONTRIBUTION DE L’ANADER A UNE CACAOCULTURE DURABLE EN COTE D’IVOIRE

Dans le cadre d’un projet pédagogique dénommé ‘’Eco-citoyenneté : l’environnement autour de l’économie du cacao, partage d’expérience culturelle autour de l’économie du cacao’’, une délégation d’enseignants et d’élèves de la Greenwich Country Day School (GCDS), une école américaine située dans le Connecticut, séjourne à Abidjan depuis le 4 janvier 2025, grâce à une collaboration avec l’agence de tourisme Loisirs Ivoire. Le lundi 6 janvier 2025, cette délégation a été accueillie au siège de la Direction Générale de l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER) à Abidjan-Plateau par le Directeur Général Dr Sidiki Cissé et ses collaborateurs. Selon Dr Kathia Flemens, professeure à GCDS, le choix de visiter l’ANADER répond à un besoin de mieux appréhender le rôle ou la contribution de cette structure étatique dans la production du cacao durable en Côte d’Ivoire. Elle a aussi manifesté le désir d’une collaboration avec l’ANADER concernant le projet porté par la GCDS. En effet, selon ses explications, les programmes académiques ou pédagogiques mondiaux de cette école offrent aux étudiants la possibilité de poursuivre leurs études selon leurs centres d’intérêts, appliquer et développer leurs compétences et leurs connaissances, et forger des partenariats avec les communautés, les chercheurs et leurs pairs. En Côte d’Ivoire, ce programme se veut une véritable expérience d’apprentissage sur le cacao pour les étudiants et leurs éducateurs en ce sens que la délégation aura des rencontres avec des structures évoluant dans l’encadrement des producteurs de cacao, des acteurs de terrain (spécialistes, et producteurs) des ministères techniques ; elle visitera des départements universitaires dédiés à l’agriculture, des plantations de cacao, prendra part à des séances d’encadrement des techniciens de l’ANADER au bénéfice des producteurs, découvrira le processus de récolte des cabosses jusqu’au séchage des fèves de cacao, ainsi que des industries chocolatières. Autre chose à découvrir, des unités de transformation, à petite échelle, des résidus de cacao. Enfin, la délégation américaine aura l’opportunité de toucher du doigt les pratiques de durabilité adoptées par la Côte d’Ivoire en matière de cacaoculture, débarrassées de toute main d’œuvre enfantine et de déforestation, mais aussi, intégrant des initiatives de traçabilité du cacao made in Côte d’Ivoire. « Nous souhaitons collaborer avec l’ANADER pour rendre l’agriculture ivoirienne meilleure et durable. Travailler avec l’ANADER est essentiel pour l’atteinte des ODD n°12, à savoir, établir des modes de consommation et production durables. Il faut réinventer l’agriculture en opérant la transition vers une agriculture respectueuse de l’environnement, asseoir un système agricole plus résilient et durable. Mais on ne peut pas réussir cette transition sans intégrer l’éducation (ODD4), d’où l’intérêt de cette mission d’imprégnation des élèves », a relevé Dr Kathia Flemens. Le Directeur Général (DG) de l’ANADER, Dr Sidiki Cissé qui a fortement apprécié l’intérêt de la délégation américaine et principalement des élèves de la GCDS pour la cacaoculture ivoirienne, s’est dit ouvert à la collaboration au projet porté par les responsables de cette école, surtout que le programme est orienté vers la durabilité de la production cacaoyère. « Nous sommes très heureux de vous accueillir dans la maison du paysan. Nous sommes encore plus heureux de savoir que vous, jeunes américains, êtes intéressés de découvrir le monde rural et l’agriculture en Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire fournit 40% du cacao mondial. Et de grandes sociétés américaines sont installées ici », s’est ainsi exprimé le DG de l’ANADER, leader du conseil agricole et rural en Côte d’Ivoire. Il a expliqué à la délégation que l’ANADER, en ce qui concerne le cacao, fait du conseil agricole auprès des producteurs, portant sur les bonnes pratiques en matière de production. Le DG a souligné que ce sont environ 600 mille producteurs que l’ANADER encadre. « Notre organisation va au plus près des paysans dans les zones de production agricole », a indiqué le premier responsable de l’ANADER. Notons qu’un film résumant les activités de l’ANADER ainsi qu’une présentation PowerPoint sur la contribution de cette entreprise à la production de cacao en Côte d’Ivoire, ont permis d’instruire les visiteurs américains. ESMEL LATH, EQUIPE DCRP

L’ANADER SIEGE CELEBRE SES RETRAITES 2024

L’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER) a une fois de plus matérialisé son attachement à la valorisation des actions sociales et à la reconnaissance du mérite en son sein. En effet, la Direction Générale a rendu hommage aux agents admis à faire valoir leurs droits à la retraite au titre de l’année 2024. C’est la cour du siège qui a abrité, le jeudi 19 décembre 2024, cette cérémonie de reconnaissance à 18 agents dont 6 dames, pour les bons et loyaux services rendus à l’ANADER durant 30 à 40 ans de leur vie. « C’est avec une immense gratitude et une profonde émotion que nous nous réunissons aujourd’hui pour rendre hommage à nos chers collègues, amis et frères qui font valoir leur droit à la retraite. Nous sommes ici pour célébrer le dévouement, la passion et la contribution inestimable à l’ANADER », s’est exprimé le Directeur Général de l’ANADER, Dr Sidiki CISSE. Le DG a souligné que le parcours des retraités au sein de l’ANADER a été remarquable. A l’en croire, ces derniers ont consacré tant d’années à servir l’entreprise avec professionnalisme et dévouement, contribuant non seulement à la mission de développement rural de la Côte d’Ivoire, mais aussi en laissant une empreinte indélébile sur chaque projet, chaque initiative et chaque succès auquel ils ont contribué. « Vos efforts ont permis à l’ANADER de grandir et de s’épanouir, et pour cela, nous vous en sommes profondément reconnaissants », a réitéré le manager de l’entreprise leader du conseil agricole et rural en Côte d’Ivoire. Le Président du Conseil d’Administration (PCA) de l’ANADER, Adama Coulibaly, a souhaité une heureuse retraite à ses anciens collaborateurs tout en se réjouissant avec ceux-ci de ce que « le sentiment d’appartenance à l’ANADER ne se terminera jamais. » Au nom des retraités, M. Koué Kapeu Léonard, a relevé une marque d’attention et de respect de la part de l’ANADER au travers de cette cérémonie organisée par le siège. Pour lui, la retraite est une opportunité pour les retraités de se réinventer pour se consacrer à leurs passions, leur famille et aux causes qui leur tiennent à cœur. « Vous avez donné une dimension humaine et chaleureuse à cette cérémonie, qui nous touche beaucoup », a reconnu M. Koué. Notons que des partenaires tels que la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS), la Caisse Générale de Retraite des Agents de l’Etat (CGRAE), le Fonds International de Développement de la Retraite Active (FIDRA) ainsi que l’Association des Retraités de l’ANADER (ARA) ont présenté des produits de retraite complémentaire, des opportunités de retraite active, invitant les nouveaux retraités à s’y intéresser. ESMEL LATH EQUIPE DCRP

QUALITE DE SERVICE ET DE LA GOUVERNANCE : L’ANADER DISTINGUEE A VIENNE

Le lundi 9 décembre 2024 restera une date mémorable pour l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER). La qualité imprimée dans la prestation de ses services en direction du monde agricole et rural ainsi que dans son management général, a été récompensée à l’international. En effet, l’ANADER a été désignée lauréate du prix Quality Choice Prize 2024 par l’European Society for Quality Research (ESQR) encore dénommée l’Association Européenne pour la Recherche en qualité et dont le siège est basé en Suisse. Les 49 lauréats, issus de 41 pays répartis sur tous les continents, ont reçu leurs trophées et diplômes à l’occasion du Congrès de l’ESQR qui s’est tenu le lundi 9 décembre dernier à l’hôtel Parkhotel Schönbrunn à Vienne, en Autriche. Au nom de l’entreprise qu’il dirige, le Directeur Général, Dr. Sidiki Cissé a réceptionné le Prix qui met ainsi en lumière la qualité du management opérée à l’ANADER. Traduisant sa fierté pour cette distinction, de Quality Choice Prize 2024 – Catégorie Diamant, Dr Sidiki Cissé a dit ses remerciements à l’ESQR. Il a attribué ce Prix à sa tutelle, le Ministre d’Etat, Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières, Kobenan Kouassi Adjoumani dont la vision stratégique imprimée vaut à l’ANADER ce niveau de gouvernance et de performance aujourd’hui reconnu à l’international. Pour lui, ce Prix récompense encore une fois, les efforts du gouvernement pour le rayonnement de la Côte d’Ivoire à travers le monde. Selon le comité d’attribution du Prix de l’ESQR, les lauréats sont sélectionnés sur la base des résultats de sondages, de recherches sur l’opinion des consommateurs et d’études de marchés. Les votants sont de différentes origines socio-professionnelles (clients, consommateurs, anciens lauréats des prix ESQR, sympathisants, etc.) « Le processus de sélection comprend également la recherche des sources d’information publiques, des publications, des remarques positives, des projets caritatifs, des chambres de commerce et d’industrie, des foires et des expositions », a-t-on appris. Il convient également d’indiquer que l’ESQR promeut la culture de la qualité. Il reconnaît les meilleures pratiques, l’excellence, le leadership, l’innovation technologique, et les réalisations en matière de qualité dans les organisations du monde entier. Le Quality Choice Prize récompense à un niveau international les sociétés, organisations, institutions et administrations publiques dont l’éthique et les initiatives démontrent un succès exceptionnel dans la gestion de la qualité et maximisent le potentiel de leurs services grâce à des pratiques orientées vers la qualité. Le Prix a une vision intégrale du travail que les cadres des entreprises mettent dans leurs sociétés, reconnaît les efforts des employés et les motive pour le progrès continuel. Notons que l’ANADER, bien avant cette distinction, a reçu plusieurs Prix au plan national, récompensant les performances de l’entreprise dans divers domaines ainsi que le leadership de ses dirigeants. ESMEL LATH EQUIPE DCRP

PRATIQUES AGROALIMENTAIRES DURABLES : L’ANADER RECEPTIONNE DES MANUELS DE FORMATION DES INNOVATIONS

L’Agence Nationale d’Appui au Développement (ANADER) a réceptionné, le lundi 2 décembre 2024, des manuels de formation portant sur les innovations applicables aux pratiques agro-alimentaires durables. La cérémonie de remise de ces documents s’est déroulée au siège de l’ANADER à Abidjan-Plateau. Il s’agit de trois (3) manuels de formations conçus grâce au soutien de la Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) portant sur trois grandes spéculations que sont le cacao, le manioc et la banane plantain. Selon le Directeur Général (DG) de l’ANADER, Dr. Sidiki Cissé, ces manuels sont le fruit d’un travail collectif acharné, représentant non seulement un outil pédagogique essentiel, mais aussi un guide précieux pour l’application des innovations dans le développement rural. « Ils sont conçus pour répondre aux défis actuels auxquels font face nos braves producteurs et pour les accompagner vers une agriculture plus durable et productive », a expliqué le DG. Il a saisi l’opportunité de cette cérémonie pour mettre en lumière le projet de Centre d’innovations vertes pour le secteur agro-alimentaire en Côte d’Ivoire (ProCIV) qui a fait naître le Centre Incubateur des Énergies Vertes de Gagnoa, soutenu par la GIZ. « Ce projet a pour objectif de promouvoir des pratiques agro-alimentaires durables et d’accompagner les producteurs dans la transformation des sous-produits agricoles en ressources valorisables », a souligné Dr. Sidiki Cissé. Grâce à cet incubateur, a relevé le DG de l’ANADER, les exploitants auront l’opportunité d’apprendre à transformer les résidus du cacao en divers produits tels que des briquettes combustibles, du vinaigre et même du bioéthanol ; une initiative qui, au-delà d’être une nouvelle source de revenus pour les agriculteurs, contribue également à la réduction des déchets et à la préservation de l’environnement. « Je tiens à exprimer ma profonde gratitude à tous ceux qui ont contribué à l’élaboration de ces manuels et au projet ProCIV. Votre expertise et votre dévouement sont la clé de notre succès. Ensemble, nous avons créé un référentiel qui servira non seulement à former nos agents, mais également à inspirer les acteurs du secteur agricole en Côte d’Ivoire », s’est exprimé le premier responsable de l’ANADER. Aux parties prenantes, il a indiqué qu’en remettant ces manuels et en intégrant les enseignements du projet ProCIV, cela traduit la réaffirmation de l’engagement de tous à promouvoir l’innovation au sein de l’ANADER et à renforcer son rôle en tant que leader dans le conseil agricole. « Nous devons continuer à innover, à nous adapter aux nouvelles réalités et à partager nos connaissances avec tous les acteurs du développement rural », a-t-il instruit. Au nom de la GIZ, M. Lasme Célestin a exprimé de fortes attentes, notamment une large diffusion du contenu des catalogues, et son renforcement par de nouvelles idées. Il a souligné également l’importance de la formation continue. D’où son appel aux centres de formation de l’ANADER à former ses agents sur les usages de ce manuel. ESMEL LATH EQUIPE DCRP

ACAT 2024 : LES AGRO-TRANSFORMTRICES ATTENDENT BEAUCOUP DE L’ANADER

Les interventions de l’Agence nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER) sont d’un grand apport pour le monde agricole rural qui l’a clairement exprimé lors de la cérémonie de clôture de la 4e édition de la Foire “Au Carrefour du Terroir” (ACAT), organisée par la Boutique Paysanne, une société coopérative regroupant environ 300 entreprises de transformation dont 95% sont dirigées par des femmes. Ce dimanche 1er décembre 2024, au Parc des Sports de Treichville (Abidjan), Mme Lydie Kambou qui s’exprimait au nom des agro-transformatrices, a sollicité un appui plus accru du leader du conseil agricole et rural auprès des sociétés coopératives engagées dans la transformation locale. A l’en croire, l’intervention renforcée de l’ANADER dans cette nouvelle dynamique de transformation de l’agriculture ivoirienne est d’autant plus nécessaire que les agriculteurs/agricultrices ont besoin de mettre sur le marché de la matière première de qualité dont les produits transformés reflèteraient également cette qualité. Elle a reconnu le fort impact de l’appui de l’ANADER auprès des organisations agricoles. « Vous faites un bon travail. L’ANADER est présente sur tout le territoire national. Mais nous attendons beaucoup plus de l’ANADER dans ces défis de transformation des produits locaux que nous devons relever. Que l’Etat donne plus de moyens l’ANADER pour qu’elle puisse nous appuyer davantage », a lancé Mme Kambou, présidente de la société coopérative des productrices de beurre de karité, basée à Bouna. Bamba Sindou, président de la Chambre d’Agriculture de Côte d’Ivoire, qui s’est exprimé au nom du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières (ME-MINADER), Haut Patron de la cérémonie, a exprimé sa fierté et sa satisfaction pour cette 4e édition de l’ACAT au regard de la forte mobilisation des agro-transformateurs et agro-transformatrices. Il a adressé des mots aux nombreux partenaires et sponsors dont l’ANADER, pour leur contribution qui a fait de l’ACAT 2024 une réussite. Notons qu’à la dernière journée de la Foire, lundi 2 décembre, l’ANADER s’est vu décerner un certificat de participation, témoignant de sa forte contribution à l’atteinte des objectifs de l’édition 2024 de l’ACAT. ESMEL LATH EQUIPE DCRP

LUTTE CONTRE LES CANCERS DU SEIN ET DE LA PROSTATE : L’ANADER S’ENGAGE POUR LA SANTE DES COMMUNAUTES

Consacrés par la communauté internationale à la lutte contre les cancers du sein et de la prostate, les mois d’octobre et de novembre ont vu se dérouler plusieurs activités d’information, sensibilisation et prévention contre ces maladies graves. En effet, les cancers du sein et de la prostate représentent des défis majeurs pour les populations en générale et en particulier pour les populations rurales qui n’ont pas toujours un accès facile à la bonne information et aux moyens de lutte et de prévention. En vue de prendre sa part de responsabilité, en tant que leader du conseil agricole et rural, l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (ANADER) voulant contribuer au bien-être des populations rurales qu’elle accompagne au quotidien, a initié des actions d’information et de sensibilisation contre ces cancers. Cette action a été menée par la Direction de l’Appui à la Santé Communautaire et à la lutte Contre les Pandémies (DASCP) de l’ANADER. Ainsi, l’ANADER a décidé d’agir contre ces maladies à l’occasion des mois symboliques d’ « octobre rose » et de « novembre bleu » en organisant du 24 au 28 novembre 2024 une campagne d’information et de sensibilisation sur la lutte contre les cancers du sein et de la prostate dans le département de San Pedro. Trois localités, à savoir Gabiadji, Touih et Blahou ont été retenues pour accueillir la caravane pour la santé. L’objectif principal de cette initiative était d’accroître l’information et la sensibilisation des populations rurales sur la lutte contre les cancers du sein et de la prostate. En collaboration avec la Direction Régionale de la Santé de San Pedro, l’ANADER a mobilisé des experts en santé de la reproduction pour apporter la bonne information aux populations locales. Pour assurer une large participation, des rencontres d’information ont été organisées dans chacune des trois localités avec les autorités traditionnelles, les chefs de communautés, les leaders d’associations de jeunes et de femmes, ainsi que les coopératives locales. Ces rencontres ont permis de mobiliser efficacement les membres de la communauté à participer massivement aux séances de sensibilisation. Chaque session de sensibilisation a été meublée par des présentations avec des messages clés transmis aux participants incluant les signes apparents de cancer, les comportements préventifs appropriés, l’importance du dépistage précoce et du suivi médical régulier, notamment à partir d’un certain âge, ainsi que leur prise en charge par les centres de santé. A l’issue des présentations, des échanges ont permis aux agents de santé de proposer des solutions aux obstacles au changement de comportement évoqués par les populations. Cette initiative de sensibilisation a été un succès, grâce à la collaboration étroite entre l’ANADER et la Direction Régionale de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle de San Pedro. Les populations rurales ont bénéficié d’informations cruciales pour la prévention et la lutte contre les cancers du sein et de la prostate. Par cette campagne en faveur de la santé, l’ANADER reste engagée à promouvoir la santé communautaire et à améliorer les conditions de vie dans les zones rurales. Il est à noter qu’au cours des mois d’octobre et de novembre, la Direction Générale de l’ANADER a organisé des séances d’information et de sensibilisation de son personnel à son siège et dans ses représentations en région. A ces occasions, des séances de dépistage gratuit et de mammographie ont été offertes aux agents. LOBE Didier Equipe DCRP

SECURITE ALIMENTAIRE EN CÔTE D’IVOIRE : l’ANADER FAIT LE BILAN DE SES PROJETS ET PROGRAMMES

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DEUX ENTREPRISES ITALIENNES VEULENT COLLABORER AVEC L’ANADER

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